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JEANYVES RUF

/ CHAT BORGNE THÉÂTRE

J’AI SAIGNÉ
/ BLAISE CENDRARS

THÉÂTRE

29 NOVEMBRE > 11 DÉCEMBRE

Jean-Yves Ruf et son équipe s’installent aux Plateaux Sauvages avec ce spectacle déjà créé dans des espaces tout-terrain. La salle transformable est leur premier écrin équipé. Cette résidence permet d’adapter le spectacle à ces nouveaux enjeux : créer un espace de résonance pour faire entendre les mots de Cendrars, puis les partager avec vous lors des représentations publiques.

« J’AI SAIGNÉ EST UN RÉCIT DIRECT, SIMPLE, DÉLICAT, QUI DÉPLOIE DES RÉSONANCES PROFONDES SUR NOTRE RAPPORT À L’AUTRE, À LA SOUFFRANCE, AU COMBAT INTÉRIEUR, À LA GUÉRISON. »  
JEAN-YVES RUF

EN FABRIQUE 
RÉSIDENCE DE CRÉATION DU 24 AU 27 NOVEMBRE

REPRÉSENTATIONS 
DU 29 NOVEMBRE AU 11 DÉCEMBRE
LUNDI-VENDREDI À 19H / SAMEDI À 16H
TARIFICATION RESPONSABLE SUR RÉSERVATION
DURÉE ESTIMÉE 1H20

Septembre 1915. Blaise Cendrars, alors engagé volontaire à la Légion étrangère, se bat sur le front de Champagne. Blessé au combat, il est amputé d’une partie de son bras droit. Il vit sa période de convalescence à l’évêché de Châlons-sur-Marne dans un hospice religieux où il rencontre Mme Adrienne, l’infirmière-major. Elle repère vite la capacité de l’écrivain à repousser ses limites pour se reconstruire et retrouver goût à la vie. Elle lui demande alors de partager la chambre d’autres malades et de leur raconter des histoires pour leur remonter le moral : c’est en soignant les autres qu’il va se soigner lui-même.  

Texte Blaise Cendrars 
Mise en scène Jean-Christophe Cochard et Jean-Yves Ruf
Scénographie Aurélie Thomas
Création lumière Christian Dubet 
Régie lumière Arno Seghiri

Avec Jean-Yves Ruf

Production Chat Borgne Théâtre 
Coréalisation Les Plateaux Sauvages
Coproduction Le Préau – Centre Dramatique National de Normandie-Vire
et Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône
Avec le soutien et l’accompagnement technique des Plateaux Sauvages

Le Chat Borgne Théâtre est une compagnie conventionnée par la DRAC et la Région GRAND EST.

JEAN-YVES RUF

Après une formation musicale et littéraire, Jean-Yves Ruf entre au Théâtre National de Strasbourg section jeu, puis à l’Unité nomade de formation à la mise en scène. De 2007 à 2010, il dirige La Manufacture, Haute école des arts de la scène de Suisse Romande de Lausanne. Il anime les Rencontres internationales de mise en scène au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis et au Théâtre National Populaire de Villeurbanne, ainsi que des stages destinés aux acteur·rice·s en Suisse, en Norvège et en France. Comédien, metteur en scène et pédagogue, il crée la compagnie du Chat Borgne Théâtre.

EN PARTAGE
TRANSMISSION ARTISTIQUE
EN OCTOBRE

LES AFFRANCHI·E·S
ÉCRITURE ET JEU 

LA PRESSE EN PARLE…

OUEST FRANCE :« Le public est suspendu au jeu de Jean-Yves Ruf lors de ce seul en scène à émotions fortes. »
MÉDIAPART : « Le texte de Cendrars et le jeu de Ruf avancent sans fioritures. Une première étape de travail plus que prometteuse, impressionnante. »
HOTTELLO : « La parole du comédien, personnage d’homme blessé qui se reconstruit patiemment, coule entre sobriété, retenue, maîtrise du récit et contrôle des états intérieurs traversés, attentive aux autres. »
TRANSFUGE : « Coup de cœur théâtral : Jean-Yves Ruf poursuit son exploration personnelle du corps de l’acteur avec J’ai saigné de Cendrars. »
NAJA21 :« Une expérience pleine d’enseignement qu’il fait bon entendre aujourd’hui. »
LA CROIX :« Les mots poignants de Cendrars et la sincérité de Jean-Yves Ruf dans son jeu de comédien offrent au spectateur l’intensité et la sensibilité d’un texte écrit en pleine tourmente. »
JE N’AI QU’UNE VIE :« La salle a longuement applaudi Jean-Yves Ruf, a pris le temps de sortir de la salle, à l’issue de ce beau spectacle dont nul ne sort indemne. »
Blog culture du SNES-FSU :« Un acteur d’une finesse exceptionnelle au service d’un texte magnifique d’humanité. A voir absolument ! « 
ARTS-chipels:« D’une voix sans affect, comme s’il énonçait une histoire presque banale, Jean-Yves Ruf nous plonge dans l’horreur de ces hommes. »
THÉÂTRE DU BLOG :« Jean-Yves Ruf retient sa voix, prend peu d’air, comme s’il fallait ménager, longtemps après le temps même de l’écriture, les corps souffrants des petits soldats en agonie. Il tient le public en haleine. »
UN FAUTEUIL POUR L’ORCHESTRE :« Le texte, une voix, un corps qui le transportent. Et cela suffit tout à fait. »

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