/ CoLLECTIF
LES BÂTARDS
DORÉS
RENDEZ-VOUS PUBLICS
RENCONTRE
vendredi 15 février – 20H
Les bâtards dorés est un groupe de réflexion, un collectif réuni par un travail de recherche théâtrale, dont les moteurs sont : Romain Grard, Lisa Hours, Christophe Montenez, Jules Sagot, Manuel Severi et Lucien Valle. Après Princes, le collectif est lauréat des prix du jury et du public du festival Impatience 2017 avec leur deuxième création Méduse.
100 MILLIONS QUI TOMBENT
– 1ÈRE SESSION THÉâTRE
EN FABRIQUE
RÉSIDENCE DE RECHERCHE DU 21 JANVIER AU 14 FÉVRIER
RENCONTRE
vendredi 15 février – 20h
Création lumières et scénographie Lucien Valle
Création sonore et musicien-interprète John Kaced
Avec Romain Grard, Lisa Hours, Christophe Montenez de la Comédie-Française (en alternance), Jules Sagot et Manuel Séveri
L’hystérie surréaliste que déploie Feydeau dans son oeuvre, à travers une mécanique bien réglée, est matière ici à explorer le Chaos, la déconstruction et la reconstruction. Le plateau se rit et joue de ces personnages « feydaliens » rivés à une époque, à une norme, à des aspirations bassement matérielles. L’enjeu est alors de sortir de la ronde, de s’arracher à ces individualismes étriqués, de trouver une brèche – ailleurs… et de voir. Un laboratoire expérimental et terriblement humain pour, peut-être, s’élever ensemble !
Production Collectif Les bâtards dorés, TnBA – Théâtre national de Bordeaux Aquitaine, Théâtre de Chelles (en cours)
Avec le soutien des Plateaux Sauvages
Diffusion En Votre Compagnie, Olivier Talpaert et Romain Le Goff
TOUT DOIT PARTIR DE LÀ
ÉCRITURE, THÉÂTRE & VIDÉO
EN PARTAGE
TRANSMISSION ARTISTIQUE D’OCTOBRE À FÉVRIER
Projet mené par Les bâtards dorés avec les participant·e·s des ateliers de Français Langue Étrangère (FLE) de l’Association Autremonde (20e)
Si vous étiez à la direction artistique d’un théâtre, que feriez-vous ?
Le collectif inverse ici le rapport de création pour permettre aux participant·e·s de s’emparer des outils théâtraux pour raconter leur histoire au sein d’un espace de liberté où tout serait à imaginer, collectivement. Chaque participant·e devient ainsi le gérant du théâtre et peut proposer son théâtre rêvé sans répondre à une demande mais en se connectant à une nécessité artistique, car tout doit partir de là.