fbpx
logo paris globe festival

PARIS GLOBE FESTIVAL 2024
/ FESTIVAL

▶︎ SCÈNE CONTEMPORAINE INTERNATIONALE

21 > 31 MAI 2024

2024. Année Olympique. Paris est au coeur des JO. La capitale forte de son bouillonnement culturel, accueille des athlètes du monde entier. Une ville qui devient, pour un temps, village de paix et de fraternité où une jeunesse se retrouve, se mesure, se connait.

De cette utopie d’un temps arrêté où, en dépit des tensions du monde, on se réunit sous le signe de la rencontre, a germé l’idée du festival Paris Globe : écho artistique à l’événement sportif sur toutes les lèvres.

Un projet collaboratif, coopératif, ouvert aux nouvelles scènes du monde et porté par des théâtres qui s’unissent pour l’occasion en un réseau vertueux. Sept lieux, main dans la main pour la première fois, pour proposer une programmation internationale contemporaine et engagée.

Parce que l’union fait la force et que nous croyons au théâtre comme reflet irremplaçable de ce qui agite l’époque, à la rencontre comme le début de tous les possibles. Brasser les esthétiques, les thématiques, les points de vue et les disciplines pour offrir au public un panorama revigorant des générations montantes d’artistes.

Et si les formes diffèrent, il nous est apparu, à la vue des sujets empoignés, qu’une même ardeur les anime, un regard vers demain, une attention portée aux enjeux brûlants et préoccupants que traverse notre civilisation.

Qu’iels viennent d’Afrique, d’Europe de l’Est, d’Amérique, d’Angleterre, d’Espagne ou d’Italie, ces artistes sont parcouru·e·s par une vitalité profonde et la nécessité farouche de prendre le réel à pleines mains, tendre un miroir au monde et porter une parole sincère et lucide.

Ce festival est le leur autant que le nôtre. Nous l’espérons source de rencontres, d’affinités électives et pourquoi pas, l’étincelle de collaborations futures.

Vivement demain !

TARIFS

Plein 25€
Réduit 17€ (plus de 60 ans, demandeureuses d’emploi et minimas sociaux, personnes en situation de handicap)
Jeune 12€ (moins de 30 ans)

PROFITEZ DE TARIFS AVANTAGEUX DÈS DEUX SPECTACLES GRÂCE AU PASS 

Avec le Théâtre de la Concorde (Paris 8e), le Théâtre de la Bastille (Paris 11e), le Théâtre 13 (Paris 13e), le Théâtre 14 (Paris 14e), le Théâtre Silvia Monfort (Paris 15e), le Théâtre Paris-Villette (Paris 19e) et Les Plateaux Sauvages (Paris 20e)

la Ville de Paris dans le cadre de la programmation culturelle « Paris fête les Jeux »
AUX PLATEAUX SAUVAGES

Le départ

/ Zora Snake – Cameroun

Mercredi 22 mai – 19h
Jeudi 23 mai – 19h

DURÉE ESTIMÉE 50 MIN

Le départ dont il est question ici n’est pas celui de la fuite ou de l’exil mais l’élan de l’engagement, le mouvement premier qui prélude à l’action. Un acte de reconstruction individuel qui essaime sa volonté de soulever les foules. Sous la forme d’un solo nourri à la révolte et à la rage, le danseur, chorégraphe, performeur camerounais Zora Snake (de son vrai nom Tejeutsa Zobel Raoul), mélange langage des mots et langage du corps pour dénoncer un pays et un continent gangréné par la corruption et affirmer tout haut l’espoir d’un renouveau. Sur un ring de boxe, le corps puissant et expressif de Zora Snake exprime sursaut et colère sous un flux d’images mentales projetées. Pris de convulsion, il éclate peu à peu le carcan qui le contraint pour se libérer de ses chaînes. Puisant dans le hip-hop et dans les danses traditionnelles africaines, il invente une danse neuve, écartelée, d’où jaillit une énergie vitale insubmersible et libératrice.

Conception, mise en scène et chorégraphie Zora Snake
Texte et dramaturgie Zora Snake et Alice Carre
Montage vidéo Matt Serna
Création lumière Etienne Tak – Le Triangle
Création musique Pidj Boomboomdistortion

Avec Zora Snake

Production Compagnie Zora Snake
Coproduction Institut français, Le Triangle, Cité de la danse, La Briqueterie CDCN du Val-de-Marne, Compagnie Acétés
Aide à la réalisation Institut Français du Cameroun, CDC La Termitière, Les Ateliers Frappaz, Festival Sens Interdits
Partenaires École des sables, Ankata, Festival Mantsina sur scène

CHOOSE A BETTER VERSION

/ Valters Sīlis – Estonie / Ukraine

Mercredi 29 mai – 19h
Jeudi 30 mai
 – 19h

DURÉE ESTIMÉE 1H15

Cap sur l’Europe de l’Est avec un spectacle à vocation utopique orchestrant la réunion d’artistes originaires de trois pays : la Lettonie, l’Estonie et l’Ukraine. Porté par une dramaturgie innovante, il invite le public à une expérience hors du commun, un voyage à travers l’espace et le temps, entre le passé, l’avenir et le présent, au gré des réincarnations de son héroïne. L’autrice de cette pièce contemporaine, Natalka Blok, est ukrainienne. Elle a été contrainte de fuir son pays en raison de l’invasion russe. Sa résistance aux évènements dévastateurs en cours dans son pays en conflit passe par l’imaginaire et l’inscription d’histoires vraies dans une trame fantasmagorique. Quant au metteur en scène Valters Sīlis, il crée un écrin immersif et participatif dans une approche résolument expérimentale incluant des projections vidéo. D’un bunker souterrain à une séance collective de méditation, ce spectacle offre une expérience oxygénante de déplacement.

Écriture Natalia Blok
Mise en scène Valters Sīlis
Scénographie Ugis Berzins
Création lumière Märt Sell
Création vidéo Laura Romanova

Avec Natalka Kobiz’ka, Antonina Khyzhnyak, Tishchenko Kostyantyn et Hryhoryy Baklanov

Production Vasyl Bilous et Märt Meos

HORS LES MURS

THE MOUNTAIN

Agrupación Señor Serrano – Espagne

21 > 22 MAI
Au Théâtre Paris-Villette

Seule en scène devant un écran où défilent les archives de sa vie, Yasmine Yahiatène convoque la mémoire d’un père avec qui elle a coupé les ponts. La Fracture est née de sa volonté de ne pas oublier et de se projeter dans un rapport politique au monde qui l’entoure.

Un jour, Yasmine Yahiatène a décidé de ne plus voir son père, malade de l’alcool, pour se protéger et se reconstruire. Après l’avoir gommé de sa mémoire, elle convoque aujourd’hui le souvenir de cet homme kabyle, qui porte un peu de l’histoire de la colonisation. Avec La Fracture, elle raconte son parcours pour comprendre et embrasser cet héritage. 

À l’origine de la pièce, il y a sa collection de vidéos, archives, photos et sons, que l’artiste pluridisciplinaire et ses collaborateur·ices utilisent pour expérimenter et incarner sa propre histoire. Sur scène, les images sont transformées et revisitées, instillant un peu de fiction au fil des souvenirs. La vidéo est une partenaire de jeu qui permet à Yasmine Yahiatène d’être économe de ses mots pour privilégier le sensible et l’émotion.

Conception et interprétation Yasmine Yahiatene
Dramaturgie et co-conception Sarah-Lise Maufroy Salomon
Collaboration artistique et co-conception Zoé Janssens et Olivia Smets
Création vidéo Samy Barras
Création sonore Jérémy David
Création lumière Charlotte Ducousso
Photographe Pauline Vanden Neste

Production délégué Atelier 210
Coproduction et coprésentation Kaaitheatre
En coproduction avec Buda (coutrai), Little Big Horn asbl, la Coop asbl et Shelter prod.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles (Bruxelles), Pianofabriek (Bruxelles), Citylab (Bruxelles), Darna asbl (Bruxelles), Ville de Bruxelles (Bourse Kangoroe), Centre Wallonie Bruxelles (Paris), Montevideo, centre d’art, (Marseille), Espace Senghor (Bruxelles), Cie L’hiver nu (Mende), Le Sillon Lauze (Marvejols), de taxshelter‧be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge.

LIVING THE DREAM WITH GRANDMA

László Göndör et Éva Katona – Hongrie

22 > 23 MAI
Au Théâtre de la Concorde

Une variation autour du cri en playback, c’est la proposition drôle et audacieuse de Nicolas Barry, dans une pièce à la croisée du cabaret, de la conférence et de la poésie sonore.

Grand Crié cherche à approcher le fait sonore nommé cri, expression de la peur, de la surprise, de la douleur ou du plaisir, très présente sur les scènes jusqu’à en devenir un stéréotype de l’esthétique contemporaine. Mais sans pour autant donner de la voix : des bouches des trois interprètes, rien ne sort, que du silence. S’inspirant du Cri de Munch, Nicolas Barry convoque le cri avec l’intensité sonore de l’atelier du peintre, où l’on n’entend que la brosse du pinceau, et quelques bruits de pas. 

Pour cela, l’auteur et chorégraphe organise un ballet de bouches qui cherchent leurs voix et finissent par trouver le playback : comme un vieux film doublé, textes et musiques de la pièce sont intégralement enregistrés. Entre cabaret, conférence et poésie sonore, Grand Crié oscille entre le texte et les corps des interprètes, pour créer un poème dramatique et chorégraphique qui semble demander au public : “est-ce que vous nous entendez ?”, dans un mélange d’humour naïf et d’inquiétude.

Conception, textes et chorégraphies Nicolas Barry
Interprètes Sophie Billon, Nangaline Gomis et Julien Meslage
Compositeur Martin Poncet
Création lumière Lucien Vallé
Textes du livret et dramaturgie Mathilde Soulheban
Artiste peintre Claude Dhont

Production Ensemble facture
Coproductions Les SUBS – lieu vivant d’expériences artistiques, Théâtre de la Ville – Paris Aide à l’expérimentation, RAMDAM – un centre d’art, CN-D Lyon
Accueil en résidence Un festival à Villerville
Avec le soutien de la DRAC – Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’aide au projet, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la SPEDIDAM

JOGGING

Hanane Hajj Ali & Éric Deniaud – Liban

22 > 25 MAI
Au Théâtre Silvia Monfort

Au Sri Lanka, deux occidentaux vivent une histoire d’amour fusionnelle, entre deux tsunamis : celui qui a ravagé la côte est du pays en 2004 et celui du néo-libéralisme qui le suit immédiatement.

Elle est là pour privatiser une plage et construire un hôtel de luxe, lui est un survivant de la catastrophe. À la façon d’un mélodrame aux allures de roman noir, leur histoire s’épanouit au milieu du chaos, entre opportunisme néocolonial, utopies libérales et traumatismes. La pièce suit ses personnages en quête d’un récit pour combler le vide laissé par la vague, épousant les soubresauts de leur histoire, entre une disparition mystérieuse, des pêcheurs expropriés, un désastre puis un autre désastre. 

Pour saisir cette expérience au goût doux-amer inspirée par l’essai de Naomi Klein, La Stratégie du choc, Théo Bluteau et Jennifer Cabassu ont imaginé une scénographie légère et monumentale. Une grande vague de tulle blanc, des couleurs saturées inspirées de la culture pop, un saxophone suave et des voix langoureuses enveloppent le public et brouillent les repères entre réalité et rêve. Après MEGAFAUNA, performance dans un jacuzzi sur fond de fiction sonore dramatique, FORTUNE est le deuxième volet du diptyque Récits de littoral.

Écriture, mise en scène et interprétation Théo Bluteau et Jennifer Cabassu
Regard extérieur Nans Laborde-Jourdàa
Scénographie Cassandre Boy
Construction ébénisterie Pascale Lasbley
Création lumière Gautier Devoucoux
Régie son Hugo Sempé
Bande originale >
Composition, sound-design, enregistrement, mixage et synthétiseurs Thomas Bunio
Interprétation (saxophones, piano, batterie et percussions) Adrien Soleiman

Production ATLATL
Coproduction Scène Nationale d’Aubusson, La Mégisserie – Scène Conventionnée d’intérêt national Art en Territoire pour les arts, les imaginaires et l’éducation populaire, Théâtre de Vanves – Scène Conventionnée d’intérêt national Art et Création pour la danse et les écritures contemporaines à travers les arts, OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Aide au projet DRAC Nouvelle Aquitaine
Aide à la résidence OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Ce spectacle a été accueilli en résidence de création au Théâtre Paris-Villette, a été répété au Théâtre de la Bastille et a bénéficié du soutien du Carreau du Temple – Accueil Studio. Il est également soutenu par le Théâtre du Cloître – Scène conventionnée de Bellac, le Théâtre du Glob – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création de Bordeaux et La Loge.
Avec le soutien de l’OARA
ATLATL a été accompagné pour la saison 20-21 par le dispositif AVEC mis en place par le Théâtre de Vanves et le bureau de production ALTERMACHINE.
ATLATL est soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine et la Communauté de Communes Creuse Sud-Ouest.
Remerciements Anne Caramagnol, Sébastien Téot et Martin Tronquart

MALAISE DANS LA CIVILISATION

/ Alix Dufresne et Étienne Lepage – Québec

23 > 24 MAI
Au Théâtre 13 / Bibliothèque

Seule en scène devant un écran où défilent les archives de sa vie, Yasmine Yahiatène convoque la mémoire d’un père avec qui elle a coupé les ponts. La Fracture est née de sa volonté de ne pas oublier et de se projeter dans un rapport politique au monde qui l’entoure.

Un jour, Yasmine Yahiatène a décidé de ne plus voir son père, malade de l’alcool, pour se protéger et se reconstruire. Après l’avoir gommé de sa mémoire, elle convoque aujourd’hui le souvenir de cet homme kabyle, qui porte un peu de l’histoire de la colonisation. Avec La Fracture, elle raconte son parcours pour comprendre et embrasser cet héritage. 

À l’origine de la pièce, il y a sa collection de vidéos, archives, photos et sons, que l’artiste pluridisciplinaire et ses collaborateur·ices utilisent pour expérimenter et incarner sa propre histoire. Sur scène, les images sont transformées et revisitées, instillant un peu de fiction au fil des souvenirs. La vidéo est une partenaire de jeu qui permet à Yasmine Yahiatène d’être économe de ses mots pour privilégier le sensible et l’émotion.

Conception et interprétation Yasmine Yahiatene
Dramaturgie et co-conception Sarah-Lise Maufroy Salomon
Collaboration artistique et co-conception Zoé Janssens et Olivia Smets
Création vidéo Samy Barras
Création sonore Jérémy David
Création lumière Charlotte Ducousso
Photographe Pauline Vanden Neste

Production délégué Atelier 210
Coproduction et coprésentation Kaaitheatre
En coproduction avec Buda (coutrai), Little Big Horn asbl, la Coop asbl et Shelter prod.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles (Bruxelles), Pianofabriek (Bruxelles), Citylab (Bruxelles), Darna asbl (Bruxelles), Ville de Bruxelles (Bourse Kangoroe), Centre Wallonie Bruxelles (Paris), Montevideo, centre d’art, (Marseille), Espace Senghor (Bruxelles), Cie L’hiver nu (Mende), Le Sillon Lauze (Marvejols), de taxshelter‧be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge.

L’OPÉRA DU VILLAGEOIS

Zora Snake – Cameroun

25 > 26 MAI
Au Théâtre 14 / espace public

Une variation autour du cri en playback, c’est la proposition drôle et audacieuse de Nicolas Barry, dans une pièce à la croisée du cabaret, de la conférence et de la poésie sonore.

Grand Crié cherche à approcher le fait sonore nommé cri, expression de la peur, de la surprise, de la douleur ou du plaisir, très présente sur les scènes jusqu’à en devenir un stéréotype de l’esthétique contemporaine. Mais sans pour autant donner de la voix : des bouches des trois interprètes, rien ne sort, que du silence. S’inspirant du Cri de Munch, Nicolas Barry convoque le cri avec l’intensité sonore de l’atelier du peintre, où l’on n’entend que la brosse du pinceau, et quelques bruits de pas. 

Pour cela, l’auteur et chorégraphe organise un ballet de bouches qui cherchent leurs voix et finissent par trouver le playback : comme un vieux film doublé, textes et musiques de la pièce sont intégralement enregistrés. Entre cabaret, conférence et poésie sonore, Grand Crié oscille entre le texte et les corps des interprètes, pour créer un poème dramatique et chorégraphique qui semble demander au public : “est-ce que vous nous entendez ?”, dans un mélange d’humour naïf et d’inquiétude.

Conception, textes et chorégraphies Nicolas Barry
Interprètes Sophie Billon, Nangaline Gomis et Julien Meslage
Compositeur Martin Poncet
Création lumière Lucien Vallé
Textes du livret et dramaturgie Mathilde Soulheban
Artiste peintre Claude Dhont

Production Ensemble facture
Coproductions Les SUBS – lieu vivant d’expériences artistiques, Théâtre de la Ville – Paris Aide à l’expérimentation, RAMDAM – un centre d’art, CN-D Lyon
Accueil en résidence Un festival à Villerville
Avec le soutien de la DRAC – Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’aide au projet, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la SPEDIDAM

WAYS TO SUBMIT

Ira Brand – Angleterre

25 > 26 MAI
Au Théâtre de la Concorde

Au Sri Lanka, deux occidentaux vivent une histoire d’amour fusionnelle, entre deux tsunamis : celui qui a ravagé la côte est du pays en 2004 et celui du néo-libéralisme qui le suit immédiatement.

Elle est là pour privatiser une plage et construire un hôtel de luxe, lui est un survivant de la catastrophe. À la façon d’un mélodrame aux allures de roman noir, leur histoire s’épanouit au milieu du chaos, entre opportunisme néocolonial, utopies libérales et traumatismes. La pièce suit ses personnages en quête d’un récit pour combler le vide laissé par la vague, épousant les soubresauts de leur histoire, entre une disparition mystérieuse, des pêcheurs expropriés, un désastre puis un autre désastre. 

Pour saisir cette expérience au goût doux-amer inspirée par l’essai de Naomi Klein, La Stratégie du choc, Théo Bluteau et Jennifer Cabassu ont imaginé une scénographie légère et monumentale. Une grande vague de tulle blanc, des couleurs saturées inspirées de la culture pop, un saxophone suave et des voix langoureuses enveloppent le public et brouillent les repères entre réalité et rêve. Après MEGAFAUNA, performance dans un jacuzzi sur fond de fiction sonore dramatique, FORTUNE est le deuxième volet du diptyque Récits de littoral.

Écriture, mise en scène et interprétation Théo Bluteau et Jennifer Cabassu
Regard extérieur Nans Laborde-Jourdàa
Scénographie Cassandre Boy
Construction ébénisterie Pascale Lasbley
Création lumière Gautier Devoucoux
Régie son Hugo Sempé
Bande originale >
Composition, sound-design, enregistrement, mixage et synthétiseurs Thomas Bunio
Interprétation (saxophones, piano, batterie et percussions) Adrien Soleiman

Production ATLATL
Coproduction Scène Nationale d’Aubusson, La Mégisserie – Scène Conventionnée d’intérêt national Art en Territoire pour les arts, les imaginaires et l’éducation populaire, Théâtre de Vanves – Scène Conventionnée d’intérêt national Art et Création pour la danse et les écritures contemporaines à travers les arts, OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Aide au projet DRAC Nouvelle Aquitaine
Aide à la résidence OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Ce spectacle a été accueilli en résidence de création au Théâtre Paris-Villette, a été répété au Théâtre de la Bastille et a bénéficié du soutien du Carreau du Temple – Accueil Studio. Il est également soutenu par le Théâtre du Cloître – Scène conventionnée de Bellac, le Théâtre du Glob – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création de Bordeaux et La Loge.
Avec le soutien de l’OARA
ATLATL a été accompagné pour la saison 20-21 par le dispositif AVEC mis en place par le Théâtre de Vanves et le bureau de production ALTERMACHINE.
ATLATL est soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine et la Communauté de Communes Creuse Sud-Ouest.
Remerciements Anne Caramagnol, Sébastien Téot et Martin Tronquart

MINGA DE UNA CASA EN RUINAS

Colectivo Cuerpo Sur – Chili

25 > 26 MAI
Au Théâtre Paris-Villette

Seule en scène devant un écran où défilent les archives de sa vie, Yasmine Yahiatène convoque la mémoire d’un père avec qui elle a coupé les ponts. La Fracture est née de sa volonté de ne pas oublier et de se projeter dans un rapport politique au monde qui l’entoure.

Un jour, Yasmine Yahiatène a décidé de ne plus voir son père, malade de l’alcool, pour se protéger et se reconstruire. Après l’avoir gommé de sa mémoire, elle convoque aujourd’hui le souvenir de cet homme kabyle, qui porte un peu de l’histoire de la colonisation. Avec La Fracture, elle raconte son parcours pour comprendre et embrasser cet héritage. 

À l’origine de la pièce, il y a sa collection de vidéos, archives, photos et sons, que l’artiste pluridisciplinaire et ses collaborateur·ices utilisent pour expérimenter et incarner sa propre histoire. Sur scène, les images sont transformées et revisitées, instillant un peu de fiction au fil des souvenirs. La vidéo est une partenaire de jeu qui permet à Yasmine Yahiatène d’être économe de ses mots pour privilégier le sensible et l’émotion.

Conception et interprétation Yasmine Yahiatene
Dramaturgie et co-conception Sarah-Lise Maufroy Salomon
Collaboration artistique et co-conception Zoé Janssens et Olivia Smets
Création vidéo Samy Barras
Création sonore Jérémy David
Création lumière Charlotte Ducousso
Photographe Pauline Vanden Neste

Production délégué Atelier 210
Coproduction et coprésentation Kaaitheatre
En coproduction avec Buda (coutrai), Little Big Horn asbl, la Coop asbl et Shelter prod.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles (Bruxelles), Pianofabriek (Bruxelles), Citylab (Bruxelles), Darna asbl (Bruxelles), Ville de Bruxelles (Bourse Kangoroe), Centre Wallonie Bruxelles (Paris), Montevideo, centre d’art, (Marseille), Espace Senghor (Bruxelles), Cie L’hiver nu (Mende), Le Sillon Lauze (Marvejols), de taxshelter‧be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge.

TAFÉ FANGA ? LE POUVOIR DU PAGNE ?

Compagnie Awn Jigi Art – Mali

28 > 29 MAI
Au Théâtre de la Concorde

Une variation autour du cri en playback, c’est la proposition drôle et audacieuse de Nicolas Barry, dans une pièce à la croisée du cabaret, de la conférence et de la poésie sonore.

Grand Crié cherche à approcher le fait sonore nommé cri, expression de la peur, de la surprise, de la douleur ou du plaisir, très présente sur les scènes jusqu’à en devenir un stéréotype de l’esthétique contemporaine. Mais sans pour autant donner de la voix : des bouches des trois interprètes, rien ne sort, que du silence. S’inspirant du Cri de Munch, Nicolas Barry convoque le cri avec l’intensité sonore de l’atelier du peintre, où l’on n’entend que la brosse du pinceau, et quelques bruits de pas. 

Pour cela, l’auteur et chorégraphe organise un ballet de bouches qui cherchent leurs voix et finissent par trouver le playback : comme un vieux film doublé, textes et musiques de la pièce sont intégralement enregistrés. Entre cabaret, conférence et poésie sonore, Grand Crié oscille entre le texte et les corps des interprètes, pour créer un poème dramatique et chorégraphique qui semble demander au public : “est-ce que vous nous entendez ?”, dans un mélange d’humour naïf et d’inquiétude.

Conception, textes et chorégraphies Nicolas Barry
Interprètes Sophie Billon, Nangaline Gomis et Julien Meslage
Compositeur Martin Poncet
Création lumière Lucien Vallé
Textes du livret et dramaturgie Mathilde Soulheban
Artiste peintre Claude Dhont

Production Ensemble facture
Coproductions Les SUBS – lieu vivant d’expériences artistiques, Théâtre de la Ville – Paris Aide à l’expérimentation, RAMDAM – un centre d’art, CN-D Lyon
Accueil en résidence Un festival à Villerville
Avec le soutien de la DRAC – Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’aide au projet, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la SPEDIDAM

COMMITMENT PHOBE

Ira Brand – Angleterre

29 > 30 MAI
Au Théâtre de la Bastille

Au Sri Lanka, deux occidentaux vivent une histoire d’amour fusionnelle, entre deux tsunamis : celui qui a ravagé la côte est du pays en 2004 et celui du néo-libéralisme qui le suit immédiatement.

Elle est là pour privatiser une plage et construire un hôtel de luxe, lui est un survivant de la catastrophe. À la façon d’un mélodrame aux allures de roman noir, leur histoire s’épanouit au milieu du chaos, entre opportunisme néocolonial, utopies libérales et traumatismes. La pièce suit ses personnages en quête d’un récit pour combler le vide laissé par la vague, épousant les soubresauts de leur histoire, entre une disparition mystérieuse, des pêcheurs expropriés, un désastre puis un autre désastre. 

Pour saisir cette expérience au goût doux-amer inspirée par l’essai de Naomi Klein, La Stratégie du choc, Théo Bluteau et Jennifer Cabassu ont imaginé une scénographie légère et monumentale. Une grande vague de tulle blanc, des couleurs saturées inspirées de la culture pop, un saxophone suave et des voix langoureuses enveloppent le public et brouillent les repères entre réalité et rêve. Après MEGAFAUNA, performance dans un jacuzzi sur fond de fiction sonore dramatique, FORTUNE est le deuxième volet du diptyque Récits de littoral.

Écriture, mise en scène et interprétation Théo Bluteau et Jennifer Cabassu
Regard extérieur Nans Laborde-Jourdàa
Scénographie Cassandre Boy
Construction ébénisterie Pascale Lasbley
Création lumière Gautier Devoucoux
Régie son Hugo Sempé
Bande originale >
Composition, sound-design, enregistrement, mixage et synthétiseurs Thomas Bunio
Interprétation (saxophones, piano, batterie et percussions) Adrien Soleiman

Production ATLATL
Coproduction Scène Nationale d’Aubusson, La Mégisserie – Scène Conventionnée d’intérêt national Art en Territoire pour les arts, les imaginaires et l’éducation populaire, Théâtre de Vanves – Scène Conventionnée d’intérêt national Art et Création pour la danse et les écritures contemporaines à travers les arts, OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Aide au projet DRAC Nouvelle Aquitaine
Aide à la résidence OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Ce spectacle a été accueilli en résidence de création au Théâtre Paris-Villette, a été répété au Théâtre de la Bastille et a bénéficié du soutien du Carreau du Temple – Accueil Studio. Il est également soutenu par le Théâtre du Cloître – Scène conventionnée de Bellac, le Théâtre du Glob – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création de Bordeaux et La Loge.
Avec le soutien de l’OARA
ATLATL a été accompagné pour la saison 20-21 par le dispositif AVEC mis en place par le Théâtre de Vanves et le bureau de production ALTERMACHINE.
ATLATL est soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine et la Communauté de Communes Creuse Sud-Ouest.
Remerciements Anne Caramagnol, Sébastien Téot et Martin Tronquart

LA MANO SINISTRA

Industria Indipendente – Italie

30 < 31 MAI
Au Théâtre Paris-Villette

Seule en scène devant un écran où défilent les archives de sa vie, Yasmine Yahiatène convoque la mémoire d’un père avec qui elle a coupé les ponts. La Fracture est née de sa volonté de ne pas oublier et de se projeter dans un rapport politique au monde qui l’entoure.

Un jour, Yasmine Yahiatène a décidé de ne plus voir son père, malade de l’alcool, pour se protéger et se reconstruire. Après l’avoir gommé de sa mémoire, elle convoque aujourd’hui le souvenir de cet homme kabyle, qui porte un peu de l’histoire de la colonisation. Avec La Fracture, elle raconte son parcours pour comprendre et embrasser cet héritage. 

À l’origine de la pièce, il y a sa collection de vidéos, archives, photos et sons, que l’artiste pluridisciplinaire et ses collaborateur·ices utilisent pour expérimenter et incarner sa propre histoire. Sur scène, les images sont transformées et revisitées, instillant un peu de fiction au fil des souvenirs. La vidéo est une partenaire de jeu qui permet à Yasmine Yahiatène d’être économe de ses mots pour privilégier le sensible et l’émotion.

Conception et interprétation Yasmine Yahiatene
Dramaturgie et co-conception Sarah-Lise Maufroy Salomon
Collaboration artistique et co-conception Zoé Janssens et Olivia Smets
Création vidéo Samy Barras
Création sonore Jérémy David
Création lumière Charlotte Ducousso
Photographe Pauline Vanden Neste

Production délégué Atelier 210
Coproduction et coprésentation Kaaitheatre
En coproduction avec Buda (coutrai), Little Big Horn asbl, la Coop asbl et Shelter prod.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles (Bruxelles), Pianofabriek (Bruxelles), Citylab (Bruxelles), Darna asbl (Bruxelles), Ville de Bruxelles (Bourse Kangoroe), Centre Wallonie Bruxelles (Paris), Montevideo, centre d’art, (Marseille), Espace Senghor (Bruxelles), Cie L’hiver nu (Mende), Le Sillon Lauze (Marvejols), de taxshelter‧be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge.

TAFÉ FANGA ? LE POUVOIR DU PAGNE ?

/ Nicolas Barry

9 DÉCEMBRE – 17H
10 décembre – 18H
Au Centquatre-Paris

Une variation autour du cri en playback, c’est la proposition drôle et audacieuse de Nicolas Barry, dans une pièce à la croisée du cabaret, de la conférence et de la poésie sonore.

Grand Crié cherche à approcher le fait sonore nommé cri, expression de la peur, de la surprise, de la douleur ou du plaisir, très présente sur les scènes jusqu’à en devenir un stéréotype de l’esthétique contemporaine. Mais sans pour autant donner de la voix : des bouches des trois interprètes, rien ne sort, que du silence. S’inspirant du Cri de Munch, Nicolas Barry convoque le cri avec l’intensité sonore de l’atelier du peintre, où l’on n’entend que la brosse du pinceau, et quelques bruits de pas. 

Pour cela, l’auteur et chorégraphe organise un ballet de bouches qui cherchent leurs voix et finissent par trouver le playback : comme un vieux film doublé, textes et musiques de la pièce sont intégralement enregistrés. Entre cabaret, conférence et poésie sonore, Grand Crié oscille entre le texte et les corps des interprètes, pour créer un poème dramatique et chorégraphique qui semble demander au public : “est-ce que vous nous entendez ?”, dans un mélange d’humour naïf et d’inquiétude.

Conception, textes et chorégraphies Nicolas Barry
Interprètes Sophie Billon, Nangaline Gomis et Julien Meslage
Compositeur Martin Poncet
Création lumière Lucien Vallé
Textes du livret et dramaturgie Mathilde Soulheban
Artiste peintre Claude Dhont

Production Ensemble facture
Coproductions Les SUBS – lieu vivant d’expériences artistiques, Théâtre de la Ville – Paris Aide à l’expérimentation, RAMDAM – un centre d’art, CN-D Lyon
Accueil en résidence Un festival à Villerville
Avec le soutien de la DRAC – Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’aide au projet, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la SPEDIDAM

COMMITMENT PHOBE

/ ATLATL / Théo Bluteau et Jennifer Cabassu

13 > 14 DÉCEMBRE – 18H30
au Théâtre 13 – Bibliothèque – Paris 13e

Au Sri Lanka, deux occidentaux vivent une histoire d’amour fusionnelle, entre deux tsunamis : celui qui a ravagé la côte est du pays en 2004 et celui du néo-libéralisme qui le suit immédiatement.

Elle est là pour privatiser une plage et construire un hôtel de luxe, lui est un survivant de la catastrophe. À la façon d’un mélodrame aux allures de roman noir, leur histoire s’épanouit au milieu du chaos, entre opportunisme néocolonial, utopies libérales et traumatismes. La pièce suit ses personnages en quête d’un récit pour combler le vide laissé par la vague, épousant les soubresauts de leur histoire, entre une disparition mystérieuse, des pêcheurs expropriés, un désastre puis un autre désastre. 

Pour saisir cette expérience au goût doux-amer inspirée par l’essai de Naomi Klein, La Stratégie du choc, Théo Bluteau et Jennifer Cabassu ont imaginé une scénographie légère et monumentale. Une grande vague de tulle blanc, des couleurs saturées inspirées de la culture pop, un saxophone suave et des voix langoureuses enveloppent le public et brouillent les repères entre réalité et rêve. Après MEGAFAUNA, performance dans un jacuzzi sur fond de fiction sonore dramatique, FORTUNE est le deuxième volet du diptyque Récits de littoral.

Écriture, mise en scène et interprétation Théo Bluteau et Jennifer Cabassu
Regard extérieur Nans Laborde-Jourdàa
Scénographie Cassandre Boy
Construction ébénisterie Pascale Lasbley
Création lumière Gautier Devoucoux
Régie son Hugo Sempé
Bande originale >
Composition, sound-design, enregistrement, mixage et synthétiseurs Thomas Bunio
Interprétation (saxophones, piano, batterie et percussions) Adrien Soleiman

Production ATLATL
Coproduction Scène Nationale d’Aubusson, La Mégisserie – Scène Conventionnée d’intérêt national Art en Territoire pour les arts, les imaginaires et l’éducation populaire, Théâtre de Vanves – Scène Conventionnée d’intérêt national Art et Création pour la danse et les écritures contemporaines à travers les arts, OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Aide au projet DRAC Nouvelle Aquitaine
Aide à la résidence OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine
Ce spectacle a été accueilli en résidence de création au Théâtre Paris-Villette, a été répété au Théâtre de la Bastille et a bénéficié du soutien du Carreau du Temple – Accueil Studio. Il est également soutenu par le Théâtre du Cloître – Scène conventionnée de Bellac, le Théâtre du Glob – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création de Bordeaux et La Loge.
Avec le soutien de l’OARA
ATLATL a été accompagné pour la saison 20-21 par le dispositif AVEC mis en place par le Théâtre de Vanves et le bureau de production ALTERMACHINE.
ATLATL est soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine et la Communauté de Communes Creuse Sud-Ouest.
Remerciements Anne Caramagnol, Sébastien Téot et Martin Tronquart

PARIS FÊTE LES JEUX

Tradition olympique instaurée en 1949, l’Olympiade culturelle est un moment clé des festivités mises en place par la ville-hôte des Jeux Olympiques et Paralympiques. Forte et attachée à sa réputation d’être une des capitales mondiales de la culture, la Ville de Paris s’est ainsi pleinement engagée dès 2021 dans l’Olympiade afin de faire dialoguer les secteurs sportifs et culturels. Investissant massivement dans l’Olympiade Culturelle avec plus de huit millions d’euros, la Ville de Paris a souhaité que l’ensemble des acteurs culturels parisiens s’emparent des Jeux pour proposer une programmation ambitieuse, joyeuse, festive et majoritairement gratuite pour les Parisiennes et Parisiens. Cette programmation s’incarne à travers de grands événements gratuits de la Ville comme Nuit Blanche, les deux éditions du festival estival Formes Olympiques, la programmation 100% JOP dans les bibliothèques, ou encore les séances de sport dans les établissements culturels. De nombreux dispositifs s’inscrivent également dans le temps long, participant ainsi à l’Héritage des Jeux : les stages Paris Sport vacances + Culture, la commande de 24 œuvres d’art contemporain installées dans des équipements sportifs, de nouveaux programmes d’éducation artistique et culturelle (EAC) ou encore les résidences artistiques en milieu sportif organisées avec le Département de la Seine-Saint-Denis.

En 2024, Paris va vivre au rythme d’une programmation culturelle exceptionnelle et foisonnante, à destination de toutes et tous, que la Ville de Paris a souhaité confier à des artistes de renommée internationale comme Mohammed El Khatib, Claire Tancons, Benjamin Millepied ou encore Raymond Depardon. À partir d’avril, les artistes investissent l’espace public parisien pour des rendez-vous festifs et populaires. Au-delà de ces grands événements fédérateurs, la Ville de Paris installera, pendant tout l’été et dans chaque arrondissement, des sites de festivités, qui accueilleront de nombreuses manifestations culturelles, pour faire vibrer les Parisiennes et les Parisiens, tout comme les visiteurs du monde entier, au rythme des Jeux. À Paris, la culture aussi fête les Jeux !

l’ONDA – Office National de Diffusion Artistique

X