avril 2026
FESTIVAL L'ÉQUIPÉ·E
7e édition
Soirée d'ouverture
Lundi 03 novembre à 20h30
En préambule de la 7e édition du festival L’Équipé·e, Les Plateaux Sauvages vous invitent le 3 novembre 2025 pour une grande soirée de lancement.

Au programme : performances inédites de Sarah Adjou, Fauve Hautot, Abou Lagraa, interludes musicales de Grégoire Letouvet, et d’autres surprises…

Une première rencontre célébrant le désir, la danse et la création, donnant le coup d’envoi avant les premières représentations en avril 2026 !

En ce lancement de saison et en préambule de leur diffusion sur les réseaux sociaux, Les Plateaux Sauvages dévoilent en exclusivité les 100 lectures capturées en vidéo pour redonner espoir et lumière.

Jusqu’au bout de la nuit, découvrez ces textes diffusés dans tous les espaces de notre fabrique, accompagnés de lectures en live, de rencontres avec des auteurices, de dédicaces, d’ateliers, de jeux littéraires et de bien d’autres surprises !

Une grande fête pour célébrer la puissance des mots !

LA NUIT DES 100 TEXTES POUR LES VIVANT·ES

LECTURES | ATELIERS | RENCONTRES
SAMEDI 13 SEPTEMBRE DE 16H À 00H

L'ÉQUIPÉ·e
création au féminin

FESTIVAL
7e ÉDITION | EN AVRIL

Parce que les droits des femmes sont encore à défendre, parce que la place des femmes dans l’art et la culture (pour ne citer que ces domaines) s’accompagne encore de l’énergie du combat et de la révolte, Les Plateaux Sauvages proposent de découvrir une « équipée » de femmes et d’hommes qui accordent la création au féminin, avec un thème à partager, voir, danser, chanter…
Direction artistique de la 7e édition Laëtitia Guédon, directrice des Plateaux Sauvages et Carolyn Occelli, directrice du Théâtre de Suresnes Jean Vilar

Les Plateaux Sauvages et le Théâtre de Suresnes Jean Vilar s’associent pour la 7e édition du festival L’Équipé·e autour de la thématique du « désir ». Trois générations de chorégraphes – Sarah Adjou, Fauve Hautot et Abou Lagraa – se réunissent pour aborder sur scène ce sujet qui traverse les genres et le temps. Grégoire Letouvet à la composition musicale et Zelda Bourquin à la dramaturgie accompagnent ces créations inédites.

Rendez-vous au printemps 2026 dans le 20e arrondissement de Paris et à Suresnes pour découvrir les performances inédites et les rencontres exclusives qui constellent ce festival.

Direction artistique de la 7e édition Laëtitia Guédon, directrice des Plateaux Sauvages et Carolyn Occelli, directrice du Théâtre de Suresnes Jean Vilar

Par et avec Sarah Adjou, Fauve Hautot et Abou Lagraa
Composition musicale Grégoire Letouvet
Dramaturgie Zelda Bourquin

Production Les Plateaux Sauvages et le Théâtre de Suresnes Jean Vilar

ENSEMBLE ARTISTIQUE
ABOU LAGRAA
Chorégraphie et interprétation

Abou Lagraa débute la danse à Annonay, avant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Il entame sa carrière de danseur interprète au S.O.A.P. Dance Theater Frankfurt, auprès de Rui Horta dont il devient l’assistant pour le Ballet du Gulbenkian à Lisbonne.

En 1997, il fonde la Compagnie La Baraka avec laquelle il est successivement artiste associé à Bonlieu, Scène Nationale d’Annecy (2004-2008) puis aux Gémeaux, Scène Nationale de

Sceaux (2009-2013) et enfin la Maison de la Danse de Lyon (2015). Rapidement, la renommée de la compagnie franchit les frontières et les tournées s’enchaînent partout en Europe mais également aux États-Unis, en Algérie, en Tunisie, en Russie et en Asie.

En près de 30 ans de carrière, Abou Lagraa a créé une trentaine de pièces. Parallèlement, il est régulièrement sollicité par de grandes institutions : il crée Fly, Fly en 2001 pour le CCN Ballet de Lorraine ; Leïla en 2003 pour les étudiant·es de 2ème année du Centre National de Danse Contemporaine d’Angers ; il entre au répertoire du Ballet de l’Opéra National de Paris avec Le Souffle du Temps en 2006, création pour 21 danseur·ses ; My Skin en 2007 pour les élèves de la Hochschule de Francfort et Nawal pour les élèves du Centre Méditerranéen de Danse Contemporaine de Tunis ; Everyone’s One en 2008 pour le Memphis Balle ; Wahada en 2018 pour les 22 danseur·ses du Ballet du Grand Théâtre de Genève ; Carmen en 2024 pour le Ballet de l’Opéra de Tunis, commande du Théâtre de l’Opéra de Tunis.

En 2010, il crée la pièce Nya avec Nawal Aït Benalla, le premier Ballet Contemporain d’Alger. Ce retour aux sources lui inspire sa création 2013 El Djoudour (Les racines) – issue d’un compagnonnage fructueux entre sa propre compagnie française et le Ballet Contemporain d’Alger – qui a ouvert la manifestation « Marseille-Provence 2013, Capitale Européenne de la Culture ».

En 2018, La Baraka s’implante à Annonay dans La Chapelle Sainte-Marie. Abou Lagraa codirige depuis lors, avec Nawal Aït Benalla, la Compagnie La Baraka et La Chapelle qui devient

Abou Lagraa débute la danse à Annonay, avant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Il entame sa carrière de danseur interprète au S.O.A.P. Dance Theater Frankfurt, auprès de Rui Horta dont il devient l’assistant pour le Ballet du Gulbenkian à Lisbonne.

En 1997, il fonde la Compagnie La Baraka avec laquelle il est successivement artiste associé à Bonlieu, Scène Nationale d’Annecy (2004-2008) puis aux Gémeaux, Scène Nationale de

Sceaux (2009-2013) et enfin la Maison de la Danse de Lyon (2015). Rapidement, la renommée de la compagnie franchit les frontières et les tournées s’enchaînent partout en Europe mais également aux États-Unis, en Algérie, en Tunisie, en Russie et en Asie.

En près de 30 ans de carrière, Abou Lagraa a créé une trentaine de pièces. Parallèlement, il est régulièrement sollicité par de grandes institutions : il crée Fly, Fly en 2001 pour le CCN Ballet de Lorraine ; Leïla en 2003 pour les étudiant·es de 2ème année du Centre National de Danse Contemporaine d’Angers ; il entre au répertoire du Ballet de l’Opéra National de Paris avec Le Souffle du Temps en 2006, création pour 21 danseur·ses ; My Skin en 2007 pour les élèves de la Hochschule de Francfort et Nawal pour les élèves du Centre Méditerranéen de Danse Contemporaine de Tunis ; Everyone’s One en 2008 pour le Memphis Balle ; Wahada en 2018 pour les 22 danseur·ses du Ballet du Grand Théâtre de Genève ; Carmen en 2024 pour le Ballet de l’Opéra de Tunis, commande du Théâtre de l’Opéra de Tunis.

En 2010, il crée la pièce Nya avec Nawal Aït Benalla, le premier Ballet Contemporain d’Alger. Ce retour aux sources lui inspire sa création 2013 El Djoudour (Les racines) – issue d’un compagnonnage fructueux entre sa propre compagnie française et le Ballet Contemporain d’Alger – qui a ouvert la manifestation « Marseille-Provence 2013, Capitale Européenne de la Culture ».

En 2018, La Baraka s’implante à Annonay dans La Chapelle Sainte-Marie. Abou Lagraa codirige depuis lors, avec Nawal Aït Benalla, la Compagnie La Baraka et La Chapelle qui devient

FAUVE HAUTOT
Chorégraphie et interprétation

Fauve Hautot commence la danse dès l’âge de 5 ans en pratiquant les danses de salon. Elle décroche le titre de championne de France junior de danses latines et vice-championne en danses standards. Encore junior, elle danse dans la catégorie adulte avec Grégory Guichar et se hisse à la troisième place des championnats de France 10 danses.

Elle représente la France aux championnats du monde en 2001 et cesse la compétition en 2004.

En 2006, elle participe à l’emission Dancing Show sur France 2 avec Maxime Dereymez, qu’il et elle remportent. Depuis, le duo continue de se produire sur scène et sur différents plateaux télé. En 2011, elle participe pour la première fois à l’émission Danse avec les stars sur TF1, qu’elle remporte à quatre reprises : en 2012 avec le chanteur Emmanuel Moire, en 2019 avec le sportif Sami El Gueddari, en 2021 avec le chanteur Tayc et en 2022 avec le chanteur Billy Crawford.

Par ailleurs, Fauve Hautot est chorégraphe pour des comédies musicales et apparaît dans plusieurs clips musicaux. En 2017, elle participe avec Nicolas Archambault au spectacle muscial Saturday Night Fever au Palais des sports.

Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, elle participe à une scène dans laquelle elle représente la danse de salon et la danse électro avec le danseur Romain Guillermic.

Fauve Hautot commence la danse dès l’âge de 5 ans en pratiquant les danses de salon. Elle décroche le titre de championne de France junior de danses latines et vice-championne en danses standards. Encore junior, elle danse dans la catégorie adulte avec Grégory Guichar et se hisse à la troisième place des championnats de France 10 danses.

Elle représente la France aux championnats du monde en 2001 et cesse la compétition en 2004.

En 2006, elle participe à l’emission Dancing Show sur France 2 avec Maxime Dereymez, qu’il et elle remportent. Depuis, le duo continue de se produire sur scène et sur différents plateaux télé. En 2011, elle participe pour la première fois à l’émission Danse avec les stars sur TF1, qu’elle remporte à quatre reprises : en 2012 avec le chanteur Emmanuel Moire, en 2019 avec le sportif Sami El Gueddari, en 2021 avec le chanteur Tayc et en 2022 avec le chanteur Billy Crawford.

Par ailleurs, Fauve Hautot est chorégraphe pour des comédies musicales et apparaît dans plusieurs clips musicaux. En 2017, elle participe avec Nicolas Archambault au spectacle muscial Saturday Night Fever au Palais des sports.

Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, elle participe à une scène dans laquelle elle représente la danse de salon et la danse électro avec le danseur Romain Guillermic.

SARAH ADJOU
Chorégraphie et interprétation

Sarah Adjou développe une gestuelle unique et intrigante. Elle compose le mouvement à partir des sensations qui traversent le corps lors d’actions quotidiennes. Travaillant avec la singularité et l’imagination de chaque interprète, elle crée une danse contemporaine précise et corporellement exigeante.

Elle s’est formée auprès de workshops de compagnies comme Batsheva, L.E.V, New Dialect, Ultima Vez, Peeping Tom, Akram Khan… Elle travaille régulièrement en tant que chorégraphe et

interprète pour des courts métrages et collabore avec des artistes d’autres disciplines : réalisateurices, designers, musicien·nes et plasticien·nes. Elle est également interprète pour des compagnies comme Consensus – Aline Derderian et Tango Unione.

Directrice artistique de la compagnie Yasaman, elle commence son travail de création avec des formes courtes : le solo Introspection (2016) et deux trios, Genèse d’Ève (2017) et Exhibition (2019), présentés lors de festivals, scènes ouvertes et concours. Sa première pièce KHÁOS présente l’évolution de cinq danseur·ses, de la matière organique à l’identité personnelle. Il s’ensuit Entrelacs, court métrage pour quatre danseur·ses et deux musicien·nes, entre cordes et chorégraphie, avec la violoniste Lina Pamart et le violoncelliste Emmanuel Leclerc.

Pour le court métrage SILO, elle travaille en collaboration avec le réalisateur Jérémie Bouillon et le compositeur-batteur Sébastien Brun. Ce film pour huit danseur·ses a donné lieu à la création de SONAR. En parallèle, elle collabore avec la sculptrice Ambre Cardinal sur la création de HERAIA, une performance mêlant danse et sculpture sur l’évolution de la figure féminine dans le sport. Elle créé en 2025 au festival Suresnes Cités Danse REVUE, un solo qui navigue entre danse contemporaine et cabaret.

Sarah Adjou développe une gestuelle unique et intrigante. Elle compose le mouvement à partir des sensations qui traversent le corps lors d’actions quotidiennes. Travaillant avec la singularité et l’imagination de chaque interprète, elle crée une danse contemporaine précise et corporellement exigeante.

Elle s’est formée auprès de workshops de compagnies comme Batsheva, L.E.V, New Dialect, Ultima Vez, Peeping Tom, Akram Khan… Elle travaille régulièrement en tant que chorégraphe et

interprète pour des courts métrages et collabore avec des artistes d’autres disciplines : réalisateurices, designers, musicien·nes et plasticien·nes. Elle est également interprète pour des compagnies comme Consensus – Aline Derderian et Tango Unione.

Directrice artistique de la compagnie Yasaman, elle commence son travail de création avec des formes courtes : le solo Introspection (2016) et deux trios, Genèse d’Ève (2017) et Exhibition (2019), présentés lors de festivals, scènes ouvertes et concours. Sa première pièce KHÁOS présente l’évolution de cinq danseur·ses, de la matière organique à l’identité personnelle. Il s’ensuit Entrelacs, court métrage pour quatre danseur·ses et deux musicien·nes, entre cordes et chorégraphie, avec la violoniste Lina Pamart et le violoncelliste Emmanuel Leclerc.

Pour le court métrage SILO, elle travaille en collaboration avec le réalisateur Jérémie Bouillon et le compositeur-batteur Sébastien Brun. Ce film pour huit danseur·ses a donné lieu à la création de SONAR. En parallèle, elle collabore avec la sculptrice Ambre Cardinal sur la création de HERAIA, une performance mêlant danse et sculpture sur l’évolution de la figure féminine dans le sport. Elle créé en 2025 au festival Suresnes Cités Danse REVUE, un solo qui navigue entre danse contemporaine et cabaret.

GRÉGOIRE LETOUVET
Composition musicale

Pianiste et compositeur, Grégoire Letouvet est formé au Conservatoire à Rayonnement Régional et au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris dans les classes d’Écriture, de Jazz et de Composition. Il écrit et arrange pour des formations allant de la musique contemporaine au jazz : Quatuor Diotima, Ensemble Intercontemporain, Orchestre National de Jazz, Orchestre des Lauréats du Conservatoire, Collectif Lovemusic, Orchestre de la Garde Républicaine, Trio SR9, Louise Jallu Quartet, Surprise Grand Ensemble.

Ses pièces ont notamment été jouées à la Philharmonie de Paris, au Palais de Tokyo, au Festival Musica, au Festival d’Automne, au Festival d’Avignon, au MUCEM, aux Instants Chavirés, au Studio 104 de Radio France.

En 2013, il crée Les Rugissants, un ensemble à la croisée du jazz, du rock progressif et de la musique contemporaine, et écrit les albums L’Insecte et la Révolution en 2014, D’Humain et d’Animal en 2018 et Le Cri en 2024. Grégoire Letouvet et Les Rugissants rejoignent le collectif Pégazz & L’Hélicon en 2019. Les Rugissants sont membres de la fédération Grands Formats, dont Grégoire Letouvet est administrateur depuis 2015.

En tant que pianiste, arrangeur et directeur artistique, il a travaillé sur des disques allant du jazz à la chanson française pour des artistes comme Ellinoa, Voyou, Camille Bertault, Leïla Martial, Sansévérino, Mathias Lévy, Estelle Meyer ou Romain Maron.

Compositeur invité par l’Orchestre National de Jazz en 2019, il conçoit et compose les deux créations Dracula et Rituels.

En collaboration au long cours avec Les Plateaux Sauvages depuis 2021, il compose les Contemplations, une balade sonore à travers les différents espace du lieu, ainsi que leur thème musical, disponibles sur les plateformes d’écoute et en double-vinyle.

Grégoire Letouvet collabore également sur plusieurs projets lyriques : l’oratorio Partir conçu et mis en scène par Laëtitia Guédon, le film-opéra Surgir ! (L’Occident) et l’adaptation pour l’opéra du texte Catégorie 3.1 du dramaturge suédois Lars Noren.

Pianiste et compositeur, Grégoire Letouvet est formé au Conservatoire à Rayonnement Régional et au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris dans les classes d’Écriture, de Jazz et de Composition. Il écrit et arrange pour des formations allant de la musique contemporaine au jazz : Quatuor Diotima, Ensemble Intercontemporain, Orchestre National de Jazz, Orchestre des Lauréats du Conservatoire, Collectif Lovemusic, Orchestre de la Garde Républicaine, Trio SR9, Louise Jallu Quartet, Surprise Grand Ensemble.

Ses pièces ont notamment été jouées à la Philharmonie de Paris, au Palais de Tokyo, au Festival Musica, au Festival d’Automne, au Festival d’Avignon, au MUCEM, aux Instants Chavirés, au Studio 104 de Radio France.

En 2013, il crée Les Rugissants, un ensemble à la croisée du jazz, du rock progressif et de la musique contemporaine, et écrit les albums L’Insecte et la Révolution en 2014, D’Humain et d’Animal en 2018 et Le Cri en 2024. Grégoire Letouvet et Les Rugissants rejoignent le collectif Pégazz & L’Hélicon en 2019. Les Rugissants sont membres de la fédération Grands Formats, dont Grégoire Letouvet est administrateur depuis 2015.

En tant que pianiste, arrangeur et directeur artistique, il a travaillé sur des disques allant du jazz à la chanson française pour des artistes comme Ellinoa, Voyou, Camille Bertault, Leïla Martial, Sansévérino, Mathias Lévy, Estelle Meyer ou Romain Maron.

Compositeur invité par l’Orchestre National de Jazz en 2019, il conçoit et compose les deux créations Dracula et Rituels.

En collaboration au long cours avec Les Plateaux Sauvages depuis 2021, il compose les Contemplations, une balade sonore à travers les différents espace du lieu, ainsi que leur thème musical, disponibles sur les plateformes d’écoute et en double-vinyle.

Grégoire Letouvet collabore également sur plusieurs projets lyriques : l’oratorio Partir conçu et mis en scène par Laëtitia Guédon, le film-opéra Surgir ! (L’Occident) et l’adaptation pour l’opéra du texte Catégorie 3.1 du dramaturge suédois Lars Noren.

ZELDA BOURQUIN
Dramaturgie

Zelda Bourquin est dramaturge-comédienne et pédagogue de théâtre. Elle obtient un diplôme à l’Institut d’Études Politiques de Paris, en littérature et philosophie éthique. Elle se forme dans les conservatoires d’art dramatique de la Ville de Paris, en danse somatique et chant lyrique, puis à la présence en scène avec Alexandre Del Perugia. Elle explore les manières de dire, les manières de se rassembler et de se découvrir par les outils du théâtre.

Comme dramaturge, elle se forme pendant dix ans au sein de la Compagnie Characteres dirigée par Gérald Garutti. Par ailleurs, elle collabore avec plusieurs auteurices, artistes et structures culturelles comme Sarah Mouline, Lena Paugam, Guillaume Lambert, Cécile Morelle, Elsa Granat et 5e Saison.

Zelda Bourquin est artiste en compagnonnage au Théâtre de l’Aquarium en 2017/2018, puis artiste associée au Théâtre de Suresnes Jean Vilar depuis 2022, où elle crée son premier spectacle La Fête des mères, mène des ateliers pour une réappropriation collective et sensible de l’éloquence, et collabore avec Virgile Dagneaux sur le spectacle chorégraphique Peuplier.

Elle fonde la Compagnie Nagas en 2023, basée en Normandie et structurée en gouvernance collective avec un groupe de huit artistes, qui conçoivent et mettent en place des dispositifs culturels au carrefour du théâtre des arts oratoires. Ensemble, ils et elles créent les Samedis sous les platanes de la Ville de L’Aigle et proposent avec ce dispositif une présence théâtrale durant tout l’été sur une scène de tréteaux.

Zelda Bourquin est dramaturge-comédienne et pédagogue de théâtre. Elle obtient un diplôme à l’Institut d’Études Politiques de Paris, en littérature et philosophie éthique. Elle se forme dans les conservatoires d’art dramatique de la Ville de Paris, en danse somatique et chant lyrique, puis à la présence en scène avec Alexandre Del Perugia. Elle explore les manières de dire, les manières de se rassembler et de se découvrir par les outils du théâtre.

Comme dramaturge, elle se forme pendant dix ans au sein de la Compagnie Characteres dirigée par Gérald Garutti. Par ailleurs, elle collabore avec plusieurs auteurices, artistes et structures culturelles comme Sarah Mouline, Lena Paugam, Guillaume Lambert, Cécile Morelle, Elsa Granat et 5e Saison.

Zelda Bourquin est artiste en compagnonnage au Théâtre de l’Aquarium en 2017/2018, puis artiste associée au Théâtre de Suresnes Jean Vilar depuis 2022, où elle crée son premier spectacle La Fête des mères, mène des ateliers pour une réappropriation collective et sensible de l’éloquence, et collabore avec Virgile Dagneaux sur le spectacle chorégraphique Peuplier.

Elle fonde la Compagnie Nagas en 2023, basée en Normandie et structurée en gouvernance collective avec un groupe de huit artistes, qui conçoivent et mettent en place des dispositifs culturels au carrefour du théâtre des arts oratoires. Ensemble, ils et elles créent les Samedis sous les platanes de la Ville de L’Aigle et proposent avec ce dispositif une présence théâtrale durant tout l’été sur une scène de tréteaux.

FAUVE HAUTOT
CHORÉGRAPHIE ET INTERPRÉTATION

Fauve Hautot commence la danse dès l’âge de 5 ans en pratiquant les danses de salon. Elle décroche le titre de championne de France junior de danses latines et vice-championne en danses standards. Encore junior, elle danse dans la catégorie adulte avec Grégory Guichar et se hisse à la troisième place des championnats de France 10 danses.

Elle représente la France aux championnats du monde en 2001 et cesse la compétition en 2004.

En 2006, elle participe à l’emission Dancing Show sur France 2 avec Maxime Dereymez, qu’il et elle remportent. Depuis, le duo continue de se produire sur scène et sur différents plateaux télé. En 2011, elle participe pour la première fois à l’émission Danse avec les stars sur TF1, qu’elle remporte à quatre reprises : en 2012 avec le chanteur Emmanuel Moire, en 2019 avec le sportif Sami El Gueddari, en 2021 avec le chanteur Tayc et en 2022 avec le chanteur Billy Crawford.

Par ailleurs, Fauve Hautot est chorégraphe pour des comédies musicales et apparaît dans plusieurs clips musicaux. En 2017, elle participe avec Nicolas Archambault au spectacle muscial Saturday Night Fever au Palais des sports.

Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, elle participe à une scène dans laquelle elle représente la danse de salon et la danse électro avec le danseur Romain Guillermic.

SARAH ADJOU
CHORÉGRAPHIE ET INTERPRÉTATION

Sarah Adjou développe une gestuelle unique et intrigante. Elle compose le mouvement à partir des sensations qui traversent le corps lors d’actions quotidiennes. Travaillant avec la singularité et l’imagination de chaque interprète, elle crée une danse contemporaine précise et corporellement exigeante.

Elle s’est formée auprès de workshops de compagnies comme Batsheva, L.E.V, New Dialect, Ultima Vez, Peeping Tom, Akram Khan… Elle travaille régulièrement en tant que chorégraphe et

interprète pour des courts métrages et collabore avec des artistes d’autres disciplines : réalisateurices, designers, musicien·nes et plasticien·nes. Elle est également interprète pour des compagnies comme Consensus – Aline Derderian et Tango Unione.

Directrice artistique de la compagnie Yasaman, elle commence son travail de création avec des formes courtes : le solo Introspection (2016) et deux trios, Genèse d’Ève (2017) et Exhibition (2019), présentés lors de festivals, scènes ouvertes et concours. Sa première pièce KHÁOS présente l’évolution de cinq danseur·ses, de la matière organique à l’identité personnelle. Il s’ensuit Entrelacs, court métrage pour quatre danseur·ses et deux musicien·nes, entre cordes et chorégraphie, avec la violoniste Lina Pamart et le violoncelliste Emmanuel Leclerc.

Pour le court métrage SILO, elle travaille en collaboration avec le réalisateur Jérémie Bouillon et le compositeur-batteur Sébastien Brun. Ce film pour huit danseur·ses a donné lieu à la création de SONAR. En parallèle, elle collabore avec la sculptrice Ambre Cardinal sur la création de HERAIA, une performance mêlant danse et sculpture sur l’évolution de la figure féminine dans le sport. Elle créé en 2025 au festival Suresnes Cités Danse REVUE, un solo qui navigue entre danse contemporaine et cabaret.

ABOU LAGRAA
CHORÉGRAPHIE ET INTERPRÉTATION

Abou Lagraa débute la danse à Annonay, avant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Il entame sa carrière de danseur interprète au S.O.A.P. Dance Theater Frankfurt, auprès de Rui Horta dont il devient l’assistant pour le Ballet du Gulbenkian à Lisbonne.

En 1997, il fonde la Compagnie La Baraka avec laquelle il est successivement artiste associé à Bonlieu, Scène Nationale d’Annecy (2004-2008) puis aux Gémeaux, Scène Nationale de

Sceaux (2009-2013) et enfin la Maison de la Danse de Lyon (2015). Rapidement, la renommée de la compagnie franchit les frontières et les tournées s’enchaînent partout en Europe mais également aux États-Unis, en Algérie, en Tunisie, en Russie et en Asie.

En près de 30 ans de carrière, Abou Lagraa a créé une trentaine de pièces. Parallèlement, il est régulièrement sollicité par de grandes institutions : il crée Fly, Fly en 2001 pour le CCN Ballet de Lorraine ; Leïla en 2003 pour les étudiant·es de 2ème année du Centre National de Danse Contemporaine d’Angers ; il entre au répertoire du Ballet de l’Opéra National de Paris avec Le Souffle du Temps en 2006, création pour 21 danseur·ses ; My Skin en 2007 pour les élèves de la Hochschule de Francfort et Nawal pour les élèves du Centre Méditerranéen de Danse Contemporaine de Tunis ; Everyone’s One en 2008 pour le Memphis Balle ; Wahada en 2018 pour les 22 danseur·ses du Ballet du Grand Théâtre de Genève ; Carmen en 2024 pour le Ballet de l’Opéra de Tunis, commande du Théâtre de l’Opéra de Tunis.

En 2010, il crée la pièce Nya avec Nawal Aït Benalla, le premier Ballet Contemporain d’Alger. Ce retour aux sources lui inspire sa création 2013 El Djoudour (Les racines) – issue d’un compagnonnage fructueux entre sa propre compagnie française et le Ballet Contemporain d’Alger – qui a ouvert la manifestation « Marseille-Provence 2013, Capitale Européenne de la Culture ».

En 2018, La Baraka s’implante à Annonay dans La Chapelle Sainte-Marie. Abou Lagraa codirige depuis lors, avec Nawal Aït Benalla, la Compagnie La Baraka et La Chapelle qui devient

ZELDA BOURQUIN
DRAMATURGIE

Zelda Bourquin est dramaturge-comédienne et pédagogue de théâtre. Elle obtient un diplôme à l’Institut d’Études Politiques de Paris, en littérature et philosophie éthique. Elle se forme dans les conservatoires d’art dramatique de la Ville de Paris, en danse somatique et chant lyrique, puis à la présence en scène avec Alexandre Del Perugia. Elle explore les manières de dire, les manières de se rassembler et de se découvrir par les outils du théâtre.

Comme dramaturge, elle se forme pendant dix ans au sein de la Compagnie Characteres dirigée par Gérald Garutti. Par ailleurs, elle collabore avec plusieurs auteurices, artistes et structures culturelles comme Sarah Mouline, Lena Paugam, Guillaume Lambert, Cécile Morelle, Elsa Granat et 5e Saison.

Zelda Bourquin est artiste en compagnonnage au Théâtre de l’Aquarium en 2017/2018, puis artiste associée au Théâtre de Suresnes Jean Vilar depuis 2022, où elle crée son premier spectacle La Fête des mères, mène des ateliers pour une réappropriation collective et sensible de l’éloquence, et collabore avec Virgile Dagneaux sur le spectacle chorégraphique Peuplier.

Elle fonde la Compagnie Nagas en 2023, basée en Normandie et structurée en gouvernance collective avec un groupe de huit artistes, qui conçoivent et mettent en place des dispositifs culturels au carrefour du théâtre des arts oratoires. Ensemble, ils et elles créent les Samedis sous les platanes de la Ville de L’Aigle et proposent avec ce dispositif une présence théâtrale durant tout l’été sur une scène de tréteaux.

Aux plateaux sauvages
MA-BIMBO.COM
Justine Canetti, Juliette Menoreau et Lila Pelissier

15 DÉCEMBRE | 18H30
16 DÉCEMBRE | 20H30

Traversée sociétale et poétique d’un centre hospitalier, Entre ses mains croise les portraits de soignant·es et aidant·es avec les outils d’un théâtre d’invention chorégraphié, où musique et humour ont toute leur place. Une jeune femme franchit les portes des urgences et nous entraîne dans le monde si particulier d’un hôpital, la nuit. Au fil des services, de la médecine interne à la rééducation en passant par la réanimation, et en dépit de la cadence, entre larmes et fous rires, colères et révoltes, tous·tes tentent de tenir dans cette machine-hôpital qui soigne, mais aussi décourage et broie.

Texte Julie Rossello-Rochet
Mise en scène Julie Guichard
Chorégraphie Jérémy Tran
Création musicale et sonore Morto Mondor
Scénographie Camille Allain Dulondel
Lumières Arthur Gueydan
Costumes Bertrand Nodet
Régie son Martin Poncet et Jean Gueudré
Régie lumière et générale Bastien Gerard 
Administration, production et diffusion Sophie Présumey

Avec l’accompagnement de La Loge – Alice Vivier, et de Iona Petmezakis

Production Cie Le Grand Nulle Part
Coproductions et résidences Théâtre de Villefranche-sur-Saône – Scène conventionnée, La Mouche de Saint-Genis-Laval, Le Méta Centre dramatique national de Poitiers Nouvelle Aquitaine et Théâtre Romain Rolland – Scène conventionnée de Villejuif
Coproductions Centre dramatique national de Tours – Théâtre Olympia, Théâtre de la Croix-Rousse, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, PIVO – Scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, S’il vous plaît – Scène conventionnée de Thouars et Théâtre des Ilets – Centre dramatique national de Montluçon

MA-BIMBO.COM
Justine Canetti, Juliette Menoreau et Lila Pelissier

15 DÉCEMBRE | 18H30
16 DÉCEMBRE | 20H30

Traversée sociétale et poétique d’un centre hospitalier, Entre ses mains croise les portraits de soignant·es et aidant·es avec les outils d’un théâtre d’invention chorégraphié, où musique et humour ont toute leur place. Une jeune femme franchit les portes des urgences et nous entraîne dans le monde si particulier d’un hôpital, la nuit. Au fil des services, de la médecine interne à la rééducation en passant par la réanimation, et en dépit de la cadence, entre larmes et fous rires, colères et révoltes, tous·tes tentent de tenir dans cette machine-hôpital qui soigne, mais aussi décourage et broie.

Texte Julie Rossello-Rochet
Mise en scène Julie Guichard
Chorégraphie Jérémy Tran
Création musicale et sonore Morto Mondor
Scénographie Camille Allain Dulondel
Lumières Arthur Gueydan
Costumes Bertrand Nodet
Régie son Martin Poncet et Jean Gueudré
Régie lumière et générale Bastien Gerard 
Administration, production et diffusion Sophie Présumey

Avec l’accompagnement de La Loge – Alice Vivier, et de Iona Petmezakis

Production Cie Le Grand Nulle Part
Coproductions et résidences Théâtre de Villefranche-sur-Saône – Scène conventionnée, La Mouche de Saint-Genis-Laval, Le Méta Centre dramatique national de Poitiers Nouvelle Aquitaine et Théâtre Romain Rolland – Scène conventionnée de Villejuif
Coproductions Centre dramatique national de Tours – Théâtre Olympia, Théâtre de la Croix-Rousse, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, PIVO – Scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, S’il vous plaît – Scène conventionnée de Thouars et Théâtre des Ilets – Centre dramatique national de Montluçon

LOVE NOT ANGER
Lilou Benegui, Sidi Camara et Marcel Farge

15 DÉCEMBRE | 18H30
16 DÉCEMBRE | 20H30

Traversée sociétale et poétique d’un centre hospitalier, Entre ses mains croise les portraits de soignant·es et aidant·es avec les outils d’un théâtre d’invention chorégraphié, où musique et humour ont toute leur place. Une jeune femme franchit les portes des urgences et nous entraîne dans le monde si particulier d’un hôpital, la nuit. Au fil des services, de la médecine interne à la rééducation en passant par la réanimation, et en dépit de la cadence, entre larmes et fous rires, colères et révoltes, tous·tes tentent de tenir dans cette machine-hôpital qui soigne, mais aussi décourage et broie.

Texte Julie Rossello-Rochet
Mise en scène Julie Guichard
Chorégraphie Jérémy Tran
Création musicale et sonore Morto Mondor
Scénographie Camille Allain Dulondel
Lumières Arthur Gueydan
Costumes Bertrand Nodet
Régie son Martin Poncet et Jean Gueudré
Régie lumière et générale Bastien Gerard 
Administration, production et diffusion Sophie Présumey

Avec l’accompagnement de La Loge – Alice Vivier, et de Iona Petmezakis

Production Cie Le Grand Nulle Part
Coproductions et résidences Théâtre de Villefranche-sur-Saône – Scène conventionnée, La Mouche de Saint-Genis-Laval, Le Méta Centre dramatique national de Poitiers Nouvelle Aquitaine et Théâtre Romain Rolland – Scène conventionnée de Villejuif
Coproductions Centre dramatique national de Tours – Théâtre Olympia, Théâtre de la Croix-Rousse, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, PIVO – Scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, S’il vous plaît – Scène conventionnée de Thouars et Théâtre des Ilets – Centre dramatique national de Montluçon

Hors les murs
MA-BIMBO.COM
Justine Canetti, Juliette Menoreau et Lila Pelissier

15 DÉCEMBRE | 18H30
16 DÉCEMBRE | 20H30

Traversée sociétale et poétique d’un centre hospitalier, Entre ses mains croise les portraits de soignant·es et aidant·es avec les outils d’un théâtre d’invention chorégraphié, où musique et humour ont toute leur place. Une jeune femme franchit les portes des urgences et nous entraîne dans le monde si particulier d’un hôpital, la nuit. Au fil des services, de la médecine interne à la rééducation en passant par la réanimation, et en dépit de la cadence, entre larmes et fous rires, colères et révoltes, tous·tes tentent de tenir dans cette machine-hôpital qui soigne, mais aussi décourage et broie.

Texte Julie Rossello-Rochet
Mise en scène Julie Guichard
Chorégraphie Jérémy Tran
Création musicale et sonore Morto Mondor
Scénographie Camille Allain Dulondel
Lumières Arthur Gueydan
Costumes Bertrand Nodet
Régie son Martin Poncet et Jean Gueudré
Régie lumière et générale Bastien Gerard 
Administration, production et diffusion Sophie Présumey

Avec l’accompagnement de La Loge – Alice Vivier, et de Iona Petmezakis

Production Cie Le Grand Nulle Part
Coproductions et résidences Théâtre de Villefranche-sur-Saône – Scène conventionnée, La Mouche de Saint-Genis-Laval, Le Méta Centre dramatique national de Poitiers Nouvelle Aquitaine et Théâtre Romain Rolland – Scène conventionnée de Villejuif
Coproductions Centre dramatique national de Tours – Théâtre Olympia, Théâtre de la Croix-Rousse, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, PIVO – Scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, S’il vous plaît – Scène conventionnée de Thouars et Théâtre des Ilets – Centre dramatique national de Montluçon

LOVE NOT ANGER
Lilou Benegui, Sidi Camara et Marcel Farge

15 DÉCEMBRE | 18H30
16 DÉCEMBRE | 20H30

Traversée sociétale et poétique d’un centre hospitalier, Entre ses mains croise les portraits de soignant·es et aidant·es avec les outils d’un théâtre d’invention chorégraphié, où musique et humour ont toute leur place. Une jeune femme franchit les portes des urgences et nous entraîne dans le monde si particulier d’un hôpital, la nuit. Au fil des services, de la médecine interne à la rééducation en passant par la réanimation, et en dépit de la cadence, entre larmes et fous rires, colères et révoltes, tous·tes tentent de tenir dans cette machine-hôpital qui soigne, mais aussi décourage et broie.

Texte Julie Rossello-Rochet
Mise en scène Julie Guichard
Chorégraphie Jérémy Tran
Création musicale et sonore Morto Mondor
Scénographie Camille Allain Dulondel
Lumières Arthur Gueydan
Costumes Bertrand Nodet
Régie son Martin Poncet et Jean Gueudré
Régie lumière et générale Bastien Gerard 
Administration, production et diffusion Sophie Présumey

Avec l’accompagnement de La Loge – Alice Vivier, et de Iona Petmezakis

Production Cie Le Grand Nulle Part
Coproductions et résidences Théâtre de Villefranche-sur-Saône – Scène conventionnée, La Mouche de Saint-Genis-Laval, Le Méta Centre dramatique national de Poitiers Nouvelle Aquitaine et Théâtre Romain Rolland – Scène conventionnée de Villejuif
Coproductions Centre dramatique national de Tours – Théâtre Olympia, Théâtre de la Croix-Rousse, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, PIVO – Scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, S’il vous plaît – Scène conventionnée de Thouars et Théâtre des Ilets – Centre dramatique national de Montluçon