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saison 2018/2019
LES BÂTARDS DORÉS
/ COllectif
100 MILLIONS
QUI TOMBENT
– 1ère SESSION
 Théatre
Vendredi 15 février

EN FABRIQUE 
RÉSIDENCE DE CRÉATION DU 21 JANVIER AU 14 FÉVRIER

SORTIES DE RÉSIDENCE
vendredi 15 février – 20h
GRATUIT SUR RÉSERVATION

L’hystérie surréaliste que déploie Feydeau dans son oeuvre, à travers une mécanique bien réglée, est matière ici à explorer le Chaos, la déconstruction et la reconstruction. Le plateau se rit et joue de ces personnages « feydaliens » rivés à une époque, à une norme, à des aspirations bassement matérielles. L’enjeu est alors de sortir de la ronde, de s’arracher à ces individualismes étriqués, de trouver une brèche – ailleurs… et de voir. Un laboratoire expérimental et terriblement humain pour, peut-être, s’élever ensemble !

Création lumières et scénographie Lucien Valle
Création sonore et musicien-interprète John Kaced

Avec Romain Grard, Lisa Hours, Christophe Montenez de la Comédie-Française (en alternance), Jules Sagot et Manuel Séveri

Production Collectif Les bâtards dorés, TnBA – Théâtre national de Bordeaux Aquitaine, Théâtre de Chelles (en cours)
Avec le soutien des Plateaux Sauvages
Diffusion En Votre Compagnie, Olivier Talpaert et Romain Le Goff

LES BÂTARDS DORÉS

Les bâtards dorés est un groupe de réflexion, un collectif réuni par un travail de recherche théâtrale, dont les moteurs sont : Romain Grard, Lisa Hours, Christophe Montenez, Jules Sagot, Manuel Severi et Lucien Valle. Après Princes, le collectif est lauréat des prix du jury et du public du festival Impatience 2017 avec leur deuxième création Méduse.

© Baptiste Muzard
TOUT DOIT PARTIR DE LÀ
 ARTS PLASTIQUES & ECRITURE

Projet mené par Les bâtards dorés avec les participant·e·s des ateliers de Français Langue Étrangère (FLE) de l’Association Autremonde (20e)

La DRAC Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication et de l’Association Autremonde (20e)

EN PARTAGE
TRANSMISSION ARTISTIQUE D’OCTOBRE À MARS

Si vous étiez à la direction artistique d’un théâtre, que feriez-vous ?
Le collectif inverse ici le rapport de création pour permettre aux participant·e·s de s’emparer des outils théâtraux pour raconter leur histoire au sein d’un espace de liberté où tout serait à imaginer, collectivement. Chaque participant·e devient ainsi le gérant du théâtre et peut proposer son théâtre rêvé sans répondre à une demande mais en se connectant à une nécessité artistique, car tout doit partir de là.

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